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QUI SOMMES-NOUS ?
LES ÉDITIONS DE LA PLUME DANS LE CUL
« La science, l’élégance, la violence. »
Arthur Rimbaud
Les Éditions de la Plume dans le Cul annoncent la couleur par leur appellation. En effet, notre ligne éditoriale entend bien défendre des auteurs et des œuvres ayant l’honnêteté d’être le plus éloigné possible des pudeurs d’usage de notre toxique doxa et son fascisme du bon goût. Ici, vous trouverez des auteurs et des œuvres fardés jusqu’à la moelle, enrubannés jusqu’à l’os, l’Âme maquillée comme une voiture volée : des auteurs résolument maniérés, des stylistes du fond, quels que soient le style et le fond ! En somme, et comme nous l’a si bien scandé Truman Capote : « Le bon goût c’est la mort de l’art », sans pour autant oublier qu’il ne suffit pas d’avoir mauvais goût pour rendre l’art vivant. Non. Pour cela, il faut aussi les ingrédients suivants : une plume d’acier, une encre de sang, de l’élégance psychologique, un esprit retors ainsi qu’une Âme pure… et avoir, tant qu’à faire, l’audace des princes devenus, par choix, clochards.
NOTRE PREMIÈRE PUBLICATION
LETTRE OUVERTE À FEMME FERMÉE – Une Histoire d’Amour à l’Eau de Rage
« Lettre Ouverte À Femme Fermée » est une lettre, ouverte par défaut, à une femme, fermée car enfermée. Dans l’Im-monde. Par d’autres et elle-même. Par con(ne)ventions et superstitions. Par croyances et delirium tremens.
Oui. Enfermée. Loin. Très. En elle. Mona.
Mona.
Mona !
Mona ?
Mais existes-Tu seulement, Mona, ailleurs qu’en moi ?
NOS PROCHAINES PUBLICATIONS
MOWAH, CRITIQUE DARD – Tome I
de David(s) Barrouk, Julie Grelley, Riccardo Monica, Rami Ghorra, Sébastien Coracin, Sami Hussaini et bien d’autres
Refusant de laisser aux pédales le pédant, je m’y pré-destine, m’y vautre et m’en repais. Qu’on me donne des plumes, du blush, des vernis, mascara(de)s et froufrous ! et, je vous en conjure, un peu de bon vomi.
Pour, en somme, pour, en creux, pour, enfin :
Critiquer la critique !
&
Censurer la censure
C’est la mission, Donquichottienne, dérisoire et hautaine, que je me donne ici, en m’auto-adoubant du label distordu : Critique Dard.
LES VISAGES PALES
de David(s) Barrouk & Riccardo Monica
Un recueil de monologues qui, de profondis, scrutent les méandres lumineux et scabreux de nos solitudes agglomérées.